Georges L. Godeau, est né en 1921 à Villiers-en-Plaine, dans les Deux-Sèvres. A publié des poèmes depuis 1953 dans une incalculable quantité de revues : des petites, des inconnues, des disparues, des insolites (L’agriculteur des Deux-Sèvres, Le journal paroissial de Limoges...), dans divers quotidiens (La croix, L’équipe, Le courrier de l’Ouest...), dans Action poétique, La nouvelle critique, Europe, la N.R.F., Esprit, Les lettres nouvelles... A fondé une revue en 1957 : Le pain du pauvre (8 numéros). Traduit en japonais par Satoru Takamura. 500 textes publiés dans toutes les revues japonaises. Traduit en russe à plusieurs reprises par Ludmila Vedenina. A publié une quantité de recueils, certains chez Gallimard, aux Éditions ouvrières, chez Guy Chambelland... Peintre abstrait. Nombreuses émissions (radio, télé), spectacles poétiques et rencontres-lecture à Niort, à Caen. Souvent salué par Georges Mounin comme un inventeur de la poésie du travail « sans carte d’affiliation dans sa poche, sans manifestes, sans fracas d’aucune sorte... ». « Rien n’est important, dit-il, sauf les quelques vrais textes qui resteront après ce grand remue-ménage. »