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Louise Reader

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Description
Frieda est élevée dans un collège, dirigé comme l’entendaient les maîtres du Reich : rigueur et punitions corporelles étaient monnaie courante. Lorsque la guerre éclate, elle a presque l’impression d’une délivrance. La vie dans une « unité » ne peut être plus dure que ce qu’elle a connu. Versée dans une section d’ambulancières, elle se trouve enfermée dans un fourgon, avec une amie, pendant une attaque russe. Elles se blottissent l’une contre l’autre, dans un réflexe de protection, qui se transforme vite... Comme déclenchée par cet incident, Frieda accepte alors les amour hétérosexuelles, en gardant toujours un faible, justement, pour les partenaires du sexe dit faible. Avec Frieda, on fréquente les cercles d’états-majors, on assiste aux complots contre Hitler, et on vit même avec les officiers russes. Tant il est bien vrai que le petit côté de l’Histoire, celui de l’alcôve, est celui qui est le plus agréable à connaître...
Pages
272 pages
Collection
Best-sellers pour adultes
Parution
1973-01-01
Marque
FeniXX réédition numérique (La pensée moderne)
EAN papier
9782307092124
EAN EPUB SANS DRM
9782307092124

Prix
7,99 €

Walter Von Ravensberg a fait toute la dernière guerre dans l’armée allemande, d’abord dans les unités stationnées sur le front russe, puis dans les différents états-majors, à l’échelon du régiment ou de la division. Il a parcouru la Russie du Nord au Sud, entre deux séjours à Berlin. Il a connu et fréquenté beaucoup d’auxiliaires féminines de l’Armée allemande, dans les situations les plus diverses. La plupart des histoires qu’il raconte, sont vraies ; il s’est contenté de changer les noms des protagonistes. « D’ailleurs, dit-il, il ne faut pas accuser de licence seulement les « souris grises », ou d’autres femmes servant dans la Whermacht. Dans n’importe quelle armée, de n’importe quelle nationalité, placée dans la situation où les Allemands se trouvaient alors, on aurait vu les mêmes bouillonnements de frénésie charnelle, d’appétits violents. La raison ? Elle est simple : elle s’appelle la peur. »