Journaliste bien connu, il a choisi de passer six mois par an en montagne, où il s’enorgueillit de faire pousser — à l’état « domestique » — les plus belles fleurs de montagne, de l’edelweiss au volubilis. Il se pourrait bien qu’il ait saisi — sur le vif — le portrait de cette « Sensuella », devenue la reine un peu folle d’une station de sports d’hiver poussée trop vite, et que les habitués des sports d’hiver puissent mettre des noms sur cette galerie de portraits... épicés. Paul Vicent prouve, s’il en était besoin, un étonnant phénomène de physique : à savoir que les corps brûlent mieux sous la neige !