L’auteur Jean-Pierre Willem , né le 24 mai 1938 à Villers-Cernay, dans les Ardennes, en France, a construit sa carrière par un engagement profond en faveur de la santé et de l’humanitaire, notamment des missions humanitaires, auquel il dédie sa vie. Dès les années 1960 jusqu’aux années 1980, il a parcouru diverses zones de conflit en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie en tant que médecin et chirurgien itinérant. Ses expériences sur le terrain l’ont amené à promouvoir des approches thérapeutiques alternatives, conduisant à la fondation de l’ONG internationale « Médecins aux pieds nus » (MAPN) en parallèle avec la mise en place de la « Faculté libre de médecines naturelles et d’ethnomédecine » (FLMM) en 1986, dirigée en famille, cette dernière étant basée à Paris (France). Auteur de 45 livres (dont 8 publiés au sein des éditions du Dauphin à Paris) valorisant l’ethnomédecine et les remèdes naturels, il a été élevé dans un environnement catholique et a suivi sa scolarité secondaire au petit séminaire de Reims. Il a ensuite poursuivi des études de médecine à la Faculté de Lille. Ses missions humanitaires ont commencé en 1959 en apportant son aide en pleine guerre d’indépendance en Algérie. Par la suite, il a collaboré avec le Dr Albert Schweitzer à Lambaréné au Gabon en 1964, avant d’exercer en tant que médecin coopérant au Rwanda, puis en tant que médecin des orphelins et des réfugiés au Viêtnam et au Cambodge. Jean-Pierre Willem a également apporté son assistance aux victimes de la famine au Zaïre et aux indigents de Kinshasa, tout en opérant en tant que chirurgien sur plusieurs fronts, dont le Liban, l’Iran-Irak, la Somalie, et plus récemment en Syrie en 2014. Tout au long de ses missions, il a côtoyé des personnalités renommées telles qu’Albert Schweitzer, Che Guevara, l’Abbé Pierre et Mère Teresa. Sa riche expérience dans les pays en voie de développement l’a convaincu du potentiel des médecines traditionnelles, l’amenant ainsi à ses activités d’enseignement au sein de la Faculté libre de médecines naturelles et d’ethnomédecine à Paris. C’est ainsi qu’il s’est concentré sur l’enseignement des médecines naturelles et de l’ethnomédecine, mettant l’accent sur des pratiques telles que l’homéopathie, la phytothérapie (usage des plantes), l’oligothérapie et l’aromathérapie (usage des huiles essentielles), pour apporter un complément au traitement des maladies graves telles que la maladie du sida et la maladie du cancer.