Nicolas Otero a ressenti très tôt le besoin d'exorciser le fait qu'il y ait un début et surtout une fin à chaque chose, et la meilleure des solutions fut de se mettre à illustrer des histoires, des souvenirs, des instants... C'est ainsi qu'après des années chaotiques et débridées, il a la joie de se voir enfin publié en dessinant la série AmeriKKKa avec Roger Martin, polar très noir et qui comble son désir de militant farouche. Il croise ensuite la route de Laurent Moënard,